• La perspective sociale se tient dans le fait que, devant la mise en œuvre d’une politique forte de transition répondant à un objectif écologique, il faudra prendre en considération la mixité sociale qui de fait, ne nous arme pas également devant un tel objectif.
  • La fracture sociale qui, selon toute vraisemblance, se trouve renforcée ces dernières décennies devra être considérée et solutionnée dans la mesure du possible et dans le respect du champ de compétences des acteurs en présence.
  • Ce que l’on peut proposer c’est justement de faire preuve d’innovation en faisant participer à l’engagement par le biais d’actions locales (A titre d’exemple). Les situations d’exclusions sociales doivent être identifiées dans un premier temps, puis faire l’objet d’une transformation en force vive.
  • Ces actions locales sur la rupture sociale, auront pour mission de renforcer le tissu social de l’individu mais auront également pour vocation une dimension de réinsertion afin de muer une charge en force vive pour la nation.

  • Ces dispositifs de soutiens à l’individu en situation d’exclusion devront envisager des mécanismes de soutiens à la transition. On peut en appeler à la responsabilité individuelle, mais il faut mettre en exergue le fait que les attentes d’une telle transition on un coût, et que ce coût ne peut être envisagé aussi facilement, qu’une mesure prise par effet d’annonce, pourrait laisser paraître.(Exemple: Fin des chaudières au fuel)
  • En visant a renforcer la réinsertion, il sera alors possible à moyen/long terme de dégager d’avantage de ressources. Une personne qui aura reconstruit son tissu social, qui s’épanouira dans une nouvelle activité bénévole ou/et professionnelle sera un bénéfice certains pour la société à défaut de la charge qu’il y incombe à l’heure actuelle.
  • Cette charge su visée au point 1.5 est imputable à un système sociale en péril. Non seulement chargé d’entreprendre une action de sauvegarde de la personne, il semblerait que ce système manque à sa tâche lorsqu’il s’agit de réinsérer des personnes socialement. De surcroît, c’est un système lourd, coûteux, qui pèsent sur le salarié. Et en considération de la crise sanitaire vécue et la crise économique qui s’amorce, ce système coûtera bien plus demain qu’aujourd’hui. Par conséquent, devra également être pris en considération que dans l’effort de transition écologique, il sera nécessaire de prendre en compte l’effort demandé face à l’effort commun déjà entrepris dans le cadre de notre modèle social national.